Avant de commencer cet article, autant vous prévenir Guillaume Musso est MON auteur français préféré. Il risque donc d'il y avoir souvent des articles sur ses romans..Vous êtes prévenus!
Que vous dire de ce livre si ce n'est qu'il est magnifique. Un roman de Musso comme on les aime, on se prend de suite d'affection pour Ethan, cet homme un peu perdu dans les choix qu'il a faire face à l'amour de sa vie. Il a en effet le droit de revivre sa fameuse journée du 31 Octobre 2007, afin de changer les choses s'il le souhaite et s'il y arrive. A lui de trouver le bon choix. Amour, suspense, Rêverie, et surtout rebondissements : ces mots résument à la perfection ce petit livre. Je n'ai pas deviné de suite l'intrigue se cachant derrière toute cette histoire, peut-être est-ce pour ça que j'ai été autant surprise par ce livre. Quoi qu'il en soit, je n'ai pas su le reposer avant de l'avoir finit et depuis je l'ai relu une bonne dizaine de fois. Je trouve que derrière ces quelques pages, on se retrouve finalement à réfléchir sur les choix que l'on fait dans nos propres vies, et on se demande "Si on avait l'occasion de revenir en arrière pour changer le cours des choses, le ferions-nous?" Attendez-vous donc en refermant ce livre à nombreux questionnement sur votre propre vie.
Résumé/4eme de couverture : Aujourd'hui est le jour le plus important de toute la vie d'Ethan. Aujourd'hui Céline la femme qu'il a toujours aimé se mariera avec un autre. Aujourd'hui sa fille dont il ignore l'existence prendra contact avec lui. Ethan, Céline, Jessie. Un homme, une femme, une enfant, trois personnages au bord du gouffre qui vont se croiser, se détruire et s'aimer. C'est aujourd'hui leur deuxième chance. Il leur reste 24 heures pour tout changer.
"Et dans un dernier souffle, je comprends tout: que le temps n'existe pas, que la vie est notre seul bien, qu'il ne faut pas la mépriser, que nous sommes tous liés, et que l'essentiel nous échappera toujours."
"Jusqu'où faut-il s'enfuir pour guérir une absence? Jusqu'où faut-il s'enfuir pour échapper à sa douleur, à son ombre, à sa vie?"
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